Historique | Situé entre les rues Faulconnier, du maréchal French, et le quai des Hollandais, l'hôpital Saint-Julien portait encore en 1859, 2 dates de 1341 et de 1346. Au milieu du 15e siècle, il est pris en charge par une communauté de tertiaires régulières franciscaines. Reconstruction du bâtiment à gauche de l'église Saint-Laurent en 1617 (date portée) . 1665 : clôture des religieuses, qui se rangent sous la règle des tertiaires franciscaines élisabéthines dites pénitentes de Sainte-Elisabeth. L'hôpital se réduit, parallèlement à la fondation du nouvel hôpital Saint-Julien, futur hôpital général et à partir de 1755, n'accueille plus que des étrangers, des marins, et des dames pensionnaires. En 1717, reconstruction du réfectoire, de la cuisine et du lavoir, par Mavant Mille, maître maçon. Expulsion des religieuses en 1792. Démolition du quartier des pensionnaires, construction d'une maison particulière, puis en 1853 d'un couvent de sacramentines de Marie-Auxiliatrice, dont la chapelle est dédiée à Marie Auxiliatrice et au Saint-Sacrement. L'autre partie du couvent primitif sert d'école puis est lotie entre 1866 et 1870. L'église sert d'entrepôt jusqu'à sa démolition dans la 1ère moitié du 20e siècle. Seul vestige : tour de guet de l'hôpital réuni à l'hôtel de l'Armateur |